Brignogan-Plages, 22 septembre 2007
Violine pour la mariée, Tholonet pour la DS.
La robe de la mariée est une création de Stéphanie Leutellier, Cholet.
Ce blog, créé en octobre 2006, a pour mission de partager nos passions en musique, cinéma, bouquins et plein d'autres choses encore.
De Nantes à Brest, puisque ce sont les villes qui bornent notre éloignement géographique, nous utilisons le blog comme canal de nos coups de coeur !
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Brignogan-Plages, 22 septembre 2007
Violine pour la mariée, Tholonet pour la DS.
La robe de la mariée est une création de Stéphanie Leutellier, Cholet.
Film français d'Eric Guirado
avec Nicolas Cazalé, Clothilde Hesme, Daniel Duval, Jeanne Goupil, Paul Crauchet.
Sorti le 15 août 2007
La fille coupée en deux
Film français de Claude Chabrol
Avec Ludivine Sagnier, François Berléand, Mathilda May, Benoît Magimel...
Sortie le 8 août 2007
Voici donc un film en demie-teinte. A voir surtout pour les acteurs.
François Berléand : on dirait Pete Towshend, non ?
Mathilda May : la quarantaine pleine de charme
Le Passage - Août 2007 lu dévoré. En matière de roman policier, il est un signe qui ne trompe pas : la fébrilité de la lecture. Ne pouvant lire que par courte tranche, je profitais de chaque opportunité pour avancer dans la lecture. Une vraie obsession : un petit quart d’heure à midi, arraché entre le dessert et la précipitation du rappel aux obligations professionnelles, devant renoncer à la délectation d'entamer un nouveau chapitre, aussi court soit-il, un autre quart d'heure juste avant de dîner, le maximum de temps avant d’être vaincu par les paupières et le matin en duel avec le bol de café.
PS : Et vous savez ce que je lis actuellement ? La Chambre des Morts... précédent roman du même auteur (voilà aussi pourquoi, j'ai pas trop de temps aujourd'hui)
Lu sur un blog, un court "hommage" à Pavarotti. Dans la série "plus c'est court, meilleur c'est"
http://zicdelanmil.over-blog.com/article-12208515.html
Sinon, vous l'avez remarqué, le blog tourne un peu au ralenti ces jours-ci. Normal, la rentrée nous retrouve tous les trois bien accaparés... Nous devrions retrouver le rythme dès le mois prochain !
Philippe
Au hasard d'une placette en montant vers le parc Güell...
Je l'avoue d'emblée, cette photo n'est pas de moi, ce n'est pas ma voiture et ça n'est pas ma femme. Ce cliché est l'oeuvre du photographe italien Maurizio Marini. Les tournesols, les oliviers... Quel parfum de vacances. Pour découvrir toute la série cliquez ici
Autre ambiance, mais cette fois, c'est moi sur la photo et c'est la DS de mon père. Nous sommes en 1968/1969. C'est également l'été mais c'est déjà le soir et il va falloir songer à installer la caravane.
L’ABSENCE DE L’OGRE
Boulevard de la Mort - film américain de Quentin Tarantino - 2007, avec Kurt Russell, Rose McGowan, Zoe Bell, ...
« Un Tarantino, c’est pas comme une boîte de chocolat, on sait toujours sur quoi on va tomber »
F. Gump – Philosophe américain
Quelques standards soul des années 60, des actrices au charme et au tempérament forgés, de longs dialogues et des clins d’œil au cinéma de genre et aux séries B, telle est l’invariable recette qu’utilise Tarantino pour chacun de ses films.
Partant de ce postulat, soit on aime, soit on déteste, en ce qui me concerne : j’aime… enfin, d’habitude…
Mais abordons le synopsis : des jeunes filles partent en week-end en voiture, elles s’arrêtent dans les bars et font la connaissance de Stuntman Mike : cascadeur recyclé et has been, ancienne doublure d’acteurs de séries B. Sous des abords sympathiques, Mike se révèle rapidement comme étant un tantinet dérangé…
Bon, qu’en penser ? D’abord ce que j’ai aimé : la prestation de Kurt Russell en cascadeur balafré, il campe le rôle à la perfection ; puis la musique, Mink Deville, Jack Nitzsche, T Rex, Eddie Floyd … simplement excellente ; le charme des actrices – à
Et puis… il y a le reste, ce que j’ai moins aimé : les dialogues tout d’abord, pourtant Tarantino est une référence en la matière, c'est l’art de la rhétorique ou comment rendre passionnant un débat sur le nom français du « quarter pounder with cheese » (dans Pulp Fiction, rappelez-vous) ; là c’est tout mou : les filles parlent de truc de filles pendant des heures et c’est lassant à mourir, d’autant plus que la VF - plus que limite - transforme l’argot américain en un jargon complètement ringard mâtiné de quelques expressions hyper tendance pour paraître plus djeunz ! Bref, ces passages là m’ont paru longs et barbants…
Le jeu des actrices également, parfois pataud, très hétérogène en fait : du très bon et du… moyen.
Bon au final, ce film n’est pas aussi réussi qu’un Jacky Brown ou qu’un Pulp Fiction, la réalisation et le jeu de Russell sauvent la mise, le talent de Tarantino permet d’assurer le minimum syndical mais sincèrement j’en attendais un peu plus en achetant mon ticket.