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Ce blog, créé en octobre 2006, a pour mission de partager nos passions en musique,  cinéma, bouquins et plein d'autres choses encore.

De Nantes à Brest, puisque ce sont les villes qui bornent notre éloignement géographique, nous utilisons le blog comme canal de nos coups de coeur !

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dossier Beatles

 

 

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 19:47

MEMORY ALMOST FULL

La critique du Télégramme

(du 13 juin 2007)

Avant propos (par Philippe) : Le quotidien breton "Le Télégramme" propose tous les mercredis le supplément culturel Sorties, qui laisse de larges pages sur l'actualité des spectacles et concerts mais comporte également des petites rubriques disques et cinéma. 

Admirateur de Paul McCartney, voici pour toi "A Taste of Honey" !

Racé et mélancolique, triomphe critique et public: en 2005, « Chaos and creation in the backyard » avait fait l'una­nimité. Après pareille réussite, Paul McCartney aurait pu se faire désirer un moment, avant de revenir avec un album de nouveau chaperonné par l'exigeant Nigel Godrich. Eh bien non: le parrain de la pop britannique est déjà de retour en ce printemps 2007 avec un 22ème  opus inattendu. Eclectique, sentimental ( You tell me »), entraînant, « Memory almost full» (avec David Kahne aux manettes) a, en fait, été enregistré par bouts, d'octobre 2003 à février 2007. Mais loin d'être décousu, il s'ouvre sur la mandoline du succulent single « Dance tonight » et fait la part belle à ces arrangements savants (l'intrigant « Mr Bellamy ») et ces enluminures raffinées (l'élégiaque « The end of the end») dont l'artiste est l' éminent spécialiste.
Pile 50 ans.après sa rencontre avec John et 40 ans après « Sgt Pepper's », la veine créatrice de Sir Paul, bientôt 65 ans, semble intarissable.
Patrice Le Berre 
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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 19:37

MEMORY ALMOST FULL

La critique des Inrockuptibles

(n°602 du 12 juin 2007)

Avant propos (par Philippe) : Lorsque vous lirez l'article qui suit vous comprendrez aisément (en particulier si vous avez déjà lu ma critique) que j'ai failli m'étranger à sa lecture. Mais, souhaitant offrir aux fidèles de ce blog un vaste panorama de la critique français, je ne pouvais occulter celle des Inrockuptibles.

Admirateur de Paul McCartney, prépare ton paracétamol : tu vas souffrir !

Pop.  Deux ans après un exploit de grâce, retour à la paresse.

 
La carrière post Beatles de Paul McCartney, tout bien considéré, s'équilibre entre les plaines, crevasses et vallons ponctués de trop rares sommets pour un type de cette envergure. Chaos and Creation in the Backyard, en 2005, risque de rester dans cette cartographie forcément déceptive comme un col hors catégorie, une inespérée culmination. L’espoir que perdure cet état de grâce est aujourd'hui douché par la parution de Memory Almost Full, nouvel album qui voit à nouveau Macca accuser son âge, enfiler ses pantoufles tout en insultant son génie et en laissant infuser dans les eaux stagnantes d’une pop sans identité ni épaisseur.
D’ailleurs, si cet album est comme on sait la première parution du label fondé par la chaîne de café Starbucks, c'est d'une véritable tisane dont il s'agit, voire d'une purge dans ses pires moments. Composées en grande partie avant Chaos and Creation.., il est possible que certaines chansons ici réchauffées fassent partie de celles que Nigel Godrich avait renvoyées à la (brave) face de son prestigieux client. Soit treize rogatons orchestrés avec un goût parfois très limite - certains sons FM 80 se rappellent à nos douloureux souvenirs -, avec quelques trop rares éclairs (les ballades You Tell Me et The End of the End, en étant généreux) pour provoquer ne serait-ce qu'un début d'étincelle. La "mémoire presque pleine" du titre n'est en tout cas pas la nôtre, qui ne s'encombrera pas longtemps de ce disque pour rien. Christophe Conte.
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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 13:17

 

MEMORY ALMOST FULL

La critique de Télérama

(n°2995 du 6 juin 2007)

Alors que la plupart de ses pairs se contentent d'exploiter leurs « back catalogues », Paul McCartney, 65 ans le 18 juin,  produit, bon an mal an, un nouvel album. Ces derniers temps, lorsqu'il ne poursuivait pas ses velléités d'être reconnu comme un grand compositeur classique, il s'évertuait à démontrer, avec une certaine réussite, que le Paul mélodiste du temps des Beatles était toujours bien vivace et, de façon plus douteuse, à tenter de se réapppropier aux dépens de feu Lennon l'héritage du Fab Four.

Memory almost full, son premier album pour le label de Starbucks, s'inscrit sous le signe de la rupture. Il arrive au terme d'une année qui a vu l'image du « gentil Beatle» écornée. Son mariage avec le mannequin Heather Mills a mal tourné, offrant le spectacle d'un inélégant lavage de linge sale en public. D'où le parfum nostalgique de ses textes aujourd'hui. Macca préfère se remémorer des temps où l'insouciance, l'inspiration et l'amour régissaient son existence. Si le rockabilly soft de That was me évoque son enfance, la tonalité générale du disque rappelle le McCartney détendu, libéré du poids des Beatles, au début des 70's. Celui de la vie à la ferme avec Linda (Ram) et de la créa­tion de Wings. Un groupe sous-estimé dont les fadaises ont injustement éclipsé les nombreux instants magiques d'une pop inventive illuminée par la voix et le génie mélodique qu'on connaît (Band on the run et une flopée de singles).
Evidemment, tout n'est pas brillant sur Memory almost full et il faut vite oublier le neuneu Dance tonight, le mièvre Gratitude pour ne retenir que le savoureusement sautillant Ever Present Past ou le délicieu­sement fragmenté Mr Bellamy. Et surtout tomber en arrêt devant la perle rare, le di­vinement plaintif You tell me, merveille de pop song mélancolique qui justifie à elle seule l’acquisition du disque. Hugo Cassavetti.
Memory Almost Full sur ce blog :
 
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10 juin 2007 7 10 /06 /juin /2007 14:35

1ère partie : présentation générale de l'album

LA CRITIQUE

Hier je rencontre Hervé. Hervé est un amateur de rock, aussi je lui pose la question « Alors, le dernier McCartney, tu l’as écouté ? » Il me répond : « Sur France Inter, un journaliste a déclaré que le dernier McCartney était sans intérêt ». « QUOI ??? » répliquai-je « Sans intérêt ??? » J’avais déjà en tête quelques pépites qui, selon moi, ne permettaient absolument pas de dédaigner l’opus 2007 du bassiste des Beatles. « Sabotage » voilà comment je traitai l’intervention du journaliste de France Inter, qui, d’une pichenette, évinçait l’œuvre du maître.
 
De toute façon, j’avais prévu de mettre en ligne le fruit de mes écoutes successives de Memory Almost Full mais, après ma rencontre avec Hervé, la chose était entendue, il fallait rétablir la vérité. Et qui mieux que moi est à même de le faire ? En toute modestie, pas grand monde, car votre serviteur, en matière de McCartney, sait être d’une impartialité à toute épreuve.
 
Ce que vous allez lire ci-dessous est certainement ce qui restera comme la plus objective des critiques de Memory Almost Full, le nouveau chef-d’oeuvre du plus grand compositeur de ce siècle. Rien que ça, je vous assure.
 
L’album démarre avec Dance Tonight avec son riff de mandoline. C’est sympa, entraînant, sans conséquence... une ouverture de disque comme McCartney les aime. Selon l’auteur, c’est le tout dernier titre composé et enregistré pour l’album. Le titre suivant Ever Present Past se veut léger, pop mais il m’évoque un peu trop les chansons des albums des années 80 comme « Pipes of Peace ». Pas ma période préférée. Bon c’est l’un des deux titres de l’album que je qualifierai d’assez moyen. Vient ensuite See Your Sunshine. Ouïe, les chœurs me font un peu peur... Mais cette basse... énorme qui surfe sur la mélodie. J’adore la seconde partie du titre à partir « She picks up daisies from a field... » très Wings. Mais, oui, je l’accorde les chœurs sont... comment dire... un peu pénible. Je suis à peu près certain que Nigel Godrich n’aurait pas laissé passer ça... Mais voici Only Mama Knows avec son intro classique qui laisse place à un bon rock dans la lignée de Juniors farm ou encore rock Show. Une parfaite réussite.
 
Il faut attendre la 4ème plage pour entendre la première ballade du disque, You Tell Me. McCartney, la voix haut perchée sur des accords de guitares nous sert une redoutable mélodie dont il a le secret. Le tout arrangé avec beaucoup de sobriété. Grandiose. Mr Bellamy ne m’enthousiaste pas plus que ça, même si le morceau est loin d’être mauvais. Mais là encore le producteur de « Chaos And Creation » aurait pu en faire quelque chose de beaucoup plus intéressant. Avec Gratitude ont revient sur du solide. Du McCartney à fleur de peau, avec une ligne de basse si caractéristique pour toute personne ayant entendu Abbey Road. Du grand art.
 
Nous attaquons maintenant un enchaînement de chansons, encore une technique qui rappelle la face B d’Abbey Road. Mais le premier titre Vintage Clothes évoque furieusement les Wings de Red Rose Speedway. Sans transition voilà le That Was Me, titre rock&roll qui lorgne plutôt du côté des années 50. Pas mal mais anecdotique. Mais voici, sans crier gare, My Feet In The Clouds. Puisque je suis dans les références, ici c’est clairement « Ram » auquel il faut se raccorder, le pont du milieu exceptée, un peu faible d’ailleurs. Mais voilà encore une mélodie inspirée.
 
J’adore House of Wax. Son attaque au piano, un arrangement digne du Pink Floyd. Le solo final est d’ailleurs digne des envolées de David Gilmour. Une réussite tant sur le plan de la composition que de l’arrangement.
Retour à la sobriété avec une chanson assez mélancolique car notre Paulo y évoque sa propre fin The End of the End. Non, pas toi, Paulo, tu resteras immortel, n’est ce pas ? Allez, on essuie sa petite larme car il nous le dit « No Reason to cry, No need to be sad ». Histoire de nous ressaisir, Paul sort ses griffes pour un rock sans prétention et assez moyen avec Nod Your Head. Ca me rappelle un peu Sgt Peppers mais en version au mieux « démo » au pire ratée. Dommage de clore l’album sur une fin aussi peu aboutie.
 
Alors ? Faisons les comptes ! 8 titres que je qualifierai de très bon à chefs-d’œuvre et donc 5 autres présentant moins d’intérêt à cause d’arrangements assez discutables, ce qui, avouons le, est le talon d’Achille de notre Paulo. Il manque ici un Lennon, un George Martin, un Elvis Costello, un Nigel Godrich à ses côtés pour lui dire « Non, Paul, pas ça ! »
 
Supérieur à « Driving Rain », peut-être au-dessous de « Chaos And Creation », Memory Almost Full se distingue par une plus grande variété dans les thèmes, les rythmes, les ambiances. De plus, comme je l’ai dit dans la chronique précédente, Paul a retrouvé une excellente forme vocale (l’absence de tournée ?). Comme disait Georges Marchais (politicien du siècle dernier, parenthèse pour les jeunes générations) : « Le bilan est globalement positif ».
 

Et si, finalement, alors que Chaos And Creation célébrait le talent du mélodiste, Memory Almost Full était comme une rétrospective des différentes facettes de celui qui, à 65 ans, n’est pas loin de fêter ses 50 ans de carrière avec toujours le même enthousiasme, la même inventivité. Pourvu que ça dure...   

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8 juin 2007 5 08 /06 /juin /2007 21:44
Titre original : Gengen die Wand
Avec Sibel Kekilli, Birol Ünel
Film allemand et turc de Fatih Akin
Sortie française le 21 juillet 2004.
Sortie DVD en juillet 2005
Ours d’or au festival de Berlin en 2004
Film interdit au moins de 12 ans et déconseillé aux personnes sensibles.
Décidément très friand de cinéma allemand, en VO si possible, c’est vraiment beaucoup mieux, nous poursuivons avec un film bien barré sur le thème alcool, drogue et rock&roll (et du sexe aussi bien sûr !).
Ici donc, un quarantenaire complètement à la ramasse, accidenté de la vie qui va devenir accidenté tout court en pliant sa voiture contre un mur. Même son suicide, il le rate. C’est à l’Hôpital qu’il va rencontrer la jeune Sibell. Turque comme lui, suicidée comme lui, ils sont fait pour s’entendre. Elle lui propose un mariage blanc pour échapper à l’emprise familiale. Mais les vieux démons ont la vie dure et le bonheur n’est pas à leur programme, ce serait trop facile…
Voilà un film qui a du rythme, qui secoue. Birol Ünel impressionne dans ce rôle de toxico incontrôlable, écorché vif. Il n’attend plus rien de la vie et refuse de voir en cette jeune fille un avenir possible. Cette jeune fille, parlons-en. Difficile pour l’actrice de tenir la rampe face à une telle personnalité. Et pourtant, elle fait plus que nous toucher dans la dérive de son personnage. Son jeu se fait tour à tour séducteur, agressif, pitoyable… Une richesse d’émotions parfaitement maîtrisée jusqu’à la métamorphose.
 
Les différents actes du film sont ponctués d’intermèdes musicaux que joue un orchestre en costume, face au Bosphore et à la Basilique Ste Sophie d’Istanbul.
 
Head On est une histoire d’identité et de choc des cultures. Mais c’est avant tout une histoire d’amour violente et passionnée entre deux êtres que leur culture unit autant qu’elle oppose.
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6 juin 2007 3 06 /06 /juin /2007 19:30

Titre original : Das Leben der Anderen
Avec Thomas Thieme, Martina Gedeck, Ulrich Mühe
Film allemand de Florian Henckel von Donnersmarck
Sortie française le 31 janvier 2007.

 
Le cinéma allemand attire notre attention depuis quelques années (de mémoire avec Goodbye Lenin en 2003) avec des films inventifs, non conformistes dans un contexte tourmenté et malgré tout non dénué d'humour.
La vie des autres n'échappe pas à ces critères. L'histoire se passe dans l'Allemagne de l'est (RDA) du début des années 1980, époque où la Stasi est encore un service de renseignements aux méthodes extrêmes pour faire bref. Ici, les victimes sont un réalisateur de théâtre très en vue et sa compagne. Un officier est chargé de les surveiller...
Il faut éviter d'en raconter trop sur l'intrigue d'un film en général et celui-ci en particulier. Nous avons aimé ce film d'abord pour son intrigue digne d'un polar ou d'un film d'espionnage, ce qu'il est après tout, mais avec un regard historique et une profonde réflexion sur la complexité de la nature humaine où sentiments, sens du devoir, de l'honneur, désir de reconnaissance voire de gloire sont des notions difficiles à faire cohabiter dans une époque trouble.
Un faut saluer la force et la maturité du réalisateur qui signe pourtant ici un premier film. Etonnant.
 
Si vous ne l'avez pas encore vu et qu'un ciné club le met à l'affiche, sautez sur l'occasion. Sinon, il faudra attendre l'édition DVD. 
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5 juin 2007 2 05 /06 /juin /2007 20:23

Paul McCARTNEY

MEMORY ALMOST FULL

MPL / Universal

Sortie le 4 mai 2007

Chaque sortie d'un nouvel album de Paul McCartney est un moment très intense. Ado, je regrettais amèrement de n'avoir pas connu l'ivresse de la parution d'un disque des Beatles. Trop jeune. Depuis, je me suis rattrapé et n'ai jamais loupé un album de McCartney même si lui-même a pu en louper un ou deux - quoique...

Non, je ne vais pas pondre une critique hâtive comme ça alors que j'en suis à peine à la fin d'une première écoute. Il faut bien prendre son temps, ne pas précipiter les choses et savourer ce précieux moment.

Première impression à chaud, tout de même : tout d'abord notre homme est vraiment en voix, je dirais même plus que sur le dernier où on le sentait un brin fragile. Globalement, les guitares électriques sont de sortie, l'album est bien pêchu et ça fait plaisir. On retrouve la bande qui l'accompagne depuis maintenant un petit bout de temps. A savoir :

  • Paul "Wix" Wickens aux claviers
  • Rusty Anderson à la guitare
  • Brian Ray à la basse
  • Abe Laboriel Jr à la batterie

Ce sont ces mêmes 4 quatres garçons que nous avons pu voir à Paris. Mais, sur les 13 chansons, le quatuor est présent sur 6 titres. Les autres sont, comme pour Chaos And Creation, entièrement joués par notre bon oncle Paul.

Aux manettes on retrouve le producteur de "Driving Rain" : David Kahne. Mais aussi l'un des meilleurs ingénieurs du son des Beatles soit Geoff Emerick lui-même. Evidemment l'album est enregistré à Abbey Road et, encore une évidence, toutes les chansons sont signées du bassiste.

Pour entendre des extraits de l'album, cliquez sur ce lien : http://www.memoryalmostfull.com/index.php?page=buy

Pour finir - enfin pour aujourd'hui - il existe trois éditions de cet album :

1 - Version CD classique
2 - Version CD édition limitée
3 - Version CD Long box

C'est bien sûr cette dernière édition que j'ai choisie. Et bien m'en a pris car le package est tout simplement somptueux !

Fin 2007, voici venir une nouvelle (et quatrième) édition, somptueusement intitulée "Deluxe Edition".

 

Oui, j'admet, pas top top ma photo du longbox. L'émotion, que voulez-vous !

2ème partie : critique de l'album

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4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 14:01

Dans notre série « Les Chansons des Beatles à la loupe »

(1968)
Paroles et traduction
Paroles
Desmond has a barrow in the market place,
Molly is the singer in a band.
Desmond says to Molly, "Girl, I like your face."
And Molly says this as she takes him by the Hand.

Ob-La-Di, Ob-La-Da, life goes on, Bra,
Lala how the life goes on.
Ob-La-Di, Ob-La-Da, life goes on, Bra,
Lala how the life goes on.

Desmond takes A trolley to the Jeweller’s Store,
Buys a twenty carat golden Ring.
Takes it back to Molly waiting at the door
And when he gives it to her she begins to sing :

Ob-La-Di, Ob-La-Da, Life Goes On Bra,
La-La How The Life Goes On.
 
In a couple of years they have built
A home, sweet home.
With a couple of kids running in the yard
Of Desmond and Molly Jones.

Happy ever after in the market Place ;
Desmond lets the children lend a hand.
Molly stays at home and does her pretty face
And in the evening she’s a singer with the band.


Happy Ever After In The Market Place ;
Desmond Lets The Children Lend A Hand.
Molly Stays At Home And Does Her Pretty Face
And In The Evening She Still Sings It With The Band.
 
And if you want some fun – take Obladi oblada

Traduction française
 
Desmond tient un stand au marché
Molly est chanteuse dans un orchestre
Desmond déclare à Molly : Ma fille, ton visage me plait !
Et, lui prenant la main, Molly répond à peu près ceci :
 
Ob-la-di, Ob-la-da, la vie comme elle va, Bra
La-la c’est la vie comme elle va.
 
Desmond prend le trolley pour se rendre chez le bijoutier,
Et achète une alliance en or de vingt carats
Il la rapporte à Molly qui attend sur le palier
Et alors qu’il la lui donne elle se met à chanter
 
Ob-la-di, Ob-la-da, la vie comme elle va, Bra
La-la c’est la vie comme elle va.
 
En quelques années il se sont construit
Un joli petit nid d’amour
Avec deux bambins qui s’amusent dans la cour
De Desmond et Molly Jones.
 
Toujours heureux de tenir son stand au marché,
Desmond laisse les enfants lui donner un coup de main.
Molly reste à la maison, maquille son joli visage
Et en soirée elle continue à chanter avec l’orchestre.
 
Toujours heureuse de tenir son stand au marhcé,
Molly laisse les enfants lui donner un coup de main,
Desmond reste à la maison, maquille son joli visage
Et en soirée elle continue à chanter avec l’orchestre.
 
Et si vous voulez passer un bon moment,
Reprenez Ob-la-di bla da
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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 22:35
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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 12:26

Film britannique de Science fiction,

réalisé par Danny Boyle  avec Chris Evans, Cillian Murphy, Rose Byrne.
sorti le 11 avril 2007.

  

 

 

 

 L’histoire : Le soleil se meurt et l’humanité est menacée. Sept ans après l’échec de la mission Icarus 1, huit astronautes sont envoyés en orbite pour « rallumer » le soleil en y injectant une bombe aux dimensions hors-norme. Après 16 mois de voyage sans encombre, l’équipage capte un signal de détresse : celui d’Icarus 1…

  

On connaît assez bien l’univers (sans jeu de mot) du film de science-fiction, de star-trek à Alien, les équipages de tout bord ont déjà tout essayé : on n’est donc dépaysé en pénétrant dans l’Icarus 2 ; ce qui est plus original, c’est ce héros malgré-lui, interprété par Cillian Murphy, qui subit les actions plus qu’il ne les provoque ; allure androgyne et corps frêle, on est très loin des clichets du genre plus « body-buildés ».

  

La réalisation de Danny Boyle est impeccable, comme d’habitude, de riches idées étoffent un scénario qui manque un peu de relief. Un bon film de genre, qui prend tout son sens au cinéma, et même s’il ne révolutionne pas le film de science-fiction, on ne s’ennuit pas une seconde et on s’attache rapidement à tout ce petit monde. A voir.

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